Pourquoi Kirsten Cameron, détentrice du record du monde de natation longue distance, aime les crèmes solaires Happinesz

Je m'appelle Kirsten Cameron et je suis une nageuse néo-zélandaise. J'ai nagé dans de nombreux pays et j'ai fait quelques longues distances. Je porte toujours de la crème solaire et son indice de protection est toujours très élevé, mais lorsque je reste dans l'eau pendant un certain temps, elle finit généralement par déteindre.

La pire baignade que j’ai faite, c’était aux Fidji. Il faisait très chaud et j’ai nagé pendant quatre heures. J’étais gravement brûlée par le soleil, surtout au niveau du bord du maillot de bain, là où il avait frotté. Une autre fois, en Bulgarie, j’ai été gravement brûlée au niveau des chevilles. Ce jour-là, je portais un maillot de bain qui descendait jusqu’aux chevilles et au niveau de mes chevilles, la crème solaire avait disparu.

Cette année, j’ai nagé dans le lac de Zurich. Et avant de nager, j’étais à une foire à Eindhoven aux Pays-Bas et j’ai rencontré l’équipe de Happinesz qui vendait de la crème solaire. J’en ai acheté et je l’ai utilisée pour nager. Tout d’abord, le produit était très agréable à appliquer. Il n’était pas gras comme la plupart des crèmes solaires. Et le meilleur dans tout ça, c’est qu’à la fin de la baignade, je pouvais encore voir qu’il était sur moi et je n’ai pas eu de coup de soleil du tout. C’était génial. De plus, normalement, après avoir nagé pendant un certain temps, ma peau est souvent dégoûtante. Eh bien, ce jour-là, ce n’était pas le cas.

L’autre avantage de ce produit est qu’il ne nuit pas à l’environnement. Lorsque je nage dans des endroits magnifiques comme les îles Fidji ou dans des lacs en Suisse, je me sens mieux en sachant que le produit que je porte ne fait aucun dommage. C’est donc un double avantage : je sais que je peux compter sur Happinesz pour me protéger du soleil et pour protéger l’environnement des produits chimiques nocifs.

Kirsten Cameron
Eindhoven, Pays-Bas